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  • Photo du rédacteurAjna

Lorsque je prépare le Yoga du dimanche sur l'🤍.

L’amour est fraternel, universel, inconditionnel et éternel.

Le désir est libre, conditionnel, reproductif et éphémère.



Je caricature pour les besoins de la démonstration :

La biologie masculine est plutôt polygame. Il distribue la semence et est, corporellement, "équipé" pour cela. Car sa forme permet le retrait et l'empreinte énergétique de sa partenaire a la capacité de se dissoudre dans un laps de temps plus court que chez la femme.

La biologie féminine est plutôt monogame, elle préserve la sécurité (la sienne et éventuellement celle de l’enfant) par l’envie d’un mâle dominant responsable. Souvent, elle "garde" l'empreinte de son partenaire plus longtemps. Elle est matrice.


L’art d’aimer est de combiner ces deux énergies dans une danse cosmique qui a la capacité d'émerveiller les deux amants.


La sincérité, le respect, la communication, la bienveillance de soi et de l’autre sont des composantes essentielles.


Si l’un des deux partenaire souhaite un ou d’autres partenaires sexuels, cela ne doit en aucun cas empêcher le flux de l'amour universel mais peut-être bien l'amour sous sa forme plus tridimensionnelle, selon les conceptions et les fondations du couple.

Aimer ne veut pas dire continuer à être dans la même forme de relation.


Il est aussi primordial de respecter qui nous sommes et ses vérités.

Une sexualité doit rester un moment joyeux ludique et consenti. Jamais un service à l’autre .. où nous ferions fi de qui nous sommes.

Les histoires ont donc un début, un milieu et une fin, c'est comme ça.


Elles se dessinent comme ces nuages qui traversent le ciel et puis, disparaissent.

Elles "sont" dans le présent merveilleux et magique.

Tout est dans l’instant. L'amour ne peut être que dans l'instant, réactualisé ou pas.


Satya.


Illustration : peinture à l'huile un mercredi soir dialoguant intérieurement sur le principe d'Agape.

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